Oui mais là mon cher Pirate c'est réellement mauvais oui pour te plagier "chiantatoire" ....

Je suis dans le même cas que Barbe-Noire
Bon public aussi mais ça n'empêche pas de critiquer. Quand on sait qu'on va voir un truc pas terrible, on n'est pas déçu

Je rajouterai même qu'on peut être agréablement surpris par un film qui s'est fait descendre quasi unanimement. On s'attend tellement à voir une bouse, qu'on peut revoir notre jugement à la hausse.
Bon c'est pas toujours le cas, parfois c'est vraiment mauvais.

C'est excellent mon cher Pirate

Coup de tete :

En voila un qu'on commence et qu'on finit avec le sourire. Des films comme ca on en fait plus et il faut dire qu'il porte bien son nom ! Ici on fait pas dans la finesse, c'est bien d'un fier et noble coup de boule qu'il s'agit

Coup de tête est une œuvre collégiale et cohérente ou le quatuor Annaud / Dewaere / Weber / Bachelet fait merveille sans parler des seconds couteaux qui interprètent avec la meilleure justesse l'hypocrisie et la mesquinerie ambiante a Trincamp. Il serait d'ailleurs injuste de réduire Coup de tête au remarquable et très regretté Dewaere car même si il est le catalyseur incontournable des propos du film, tout autour de lui est mécanisé a la perfection. Dialogues percutants et ciselés, musique entêtante, acteurs impliqués, scénario couillu, efficace et irrévérence pleinement assumée. Meme si ici le football est le prisme, c'est la pyramide sociale qui est clairement visée ainsi que l'art de manipuler et d’acheter le peuple. Une phrase du film résume d'ailleurs clairement la pensée exprimée dans celui ci :

J'entretiens 11 imbéciles pour en calmer 800 autres

Du beau boulot pour un film culte

Décidément !!
Après le "Delivres-nous du mal" réservé à Forsy, dont on parle ci-dessus, tu descends en flèche un film qui était en attente dans mon panier de fin de mois sur amazon.
J'avais commencé à composer un panier quand la promo était arrivée, avec "Dragons 2" 3D et "Lucy" ! Puis, j'ai trouvé ces deux-là, respectivement à 18 et 12 € au marché, et du coup j'ai recomposé la commande - toujours en attente - avec 2 autres titres : "La vie de château" de Rappeneau, et ......... "Walter Mitty" ( le 3ème étant "Le désert des tartares" ).
Je m'étais basé, pour le sélectionner, sur les critiques des acheteurs amazon ( du moins ceux qui détaillent un peu, et qui ont réellement quelque chose à dire, pas ceux qui se contentent de 2 ou 3 phrases lapidaires, d'ailleurs souvent très mal orthographiées ), à 80 % très positives.
Bon, ben, après ce "langeikki-badaboum", je suis retourné sur les pages de la promo, j'ai viré "Walter Mitty", et remplacé par un film dont je n'avais jamais entendu parler mais qui, autant par le casting que par le pitch, semble très intéressant : "Margin Call", avec Kevin Spacey, sur les 24 H qui ont précédé le krach 2008 avec les banques Lehmann et Goldman Sachs, une peinture au scalpel du monde de la finance ! Wait and see !
Question, comme çà : t'aurais pas l'intention de flinguer aussi "La vie de château" et "Le désert des tartares" par hasard ?
Que je saches avant de commander, au cas où ................. !!!
(Quoique "La vie de château", je connais un peu pour l'avoir vu à la télé, et donc je sais à quoi m'attendre ).

Chacun ses gouts mon grand et ne t’arrête pas a mes critiques pour te faire ton propre avis sur les films qui t'attirent parce que sinon t'es mal barré En ce qui concerne Walter Mitty je ne sais pas a quel prix tu l'aurais touché dans la promo mais je te conseille d'attendre pour l'avoir a prix doux (pas plus de 6 / 7 euros) Une fois que tu l'aura vu, reviens nous dire si tu l'as aimé

Hier soir: La Vie Révée de Walter Mitty



Du très bon film, ma femme est ravis, A VOIR D'URGENCE

Les goûts et les couleurs ..................... !!!!!!

T'es dans la merde maintenant

Mon souvenir du "désert des tartares", c'est comme le roman : c'est long, c'est long, c'est très très long !!! Bon, c'était il y a longtemps...
Tu me diras lorsque tu l'aura découvert

Bon, je vais peut-être remettre "Walter Mitty" dans le panier et enlever "Le désert des tartares" !!
Tant que la commande n'est pas validée .........................

Le pitch du "Désert des tartares" fait furieusement penser à la chanson de Brel, "Zangra" !

Je m'appelle Zangra et je suis lieutenant
Au fort de Bellonzio qui domine la plaine
D'où l'ennemi viendra, qui me fera héros

En attendant ce jour, je m'ennuie quelquefois
....................................
.....................................

...................., maintenant Capitaine
.....................................

En attendant ce jour, je m'ennuie quelquefois
Alors je vais au bourg, voir les filles en troupeau
Mais elles parlent d'amour .. et moi de mes chevaux

...................., et je suis Commandant
Au fort ........................................
........................ qui me fera ..... héros ??

En attendant ce jour , je M'ENNUIE quelquefois
..................................................

....................., je suis vieux Colonel
Au fort ......................................

Alors je vais au bourg .......................
Je parle ENFIN d'amour, mais elles de mes chevaux !!!!

Je m'appelle Zangra, hier trop vieux général
J'ai quitté Bellonzio qui domine la plaine
ET L'ENNEMI EST LA !!!!

Je ne serai pas héros ................

Hier soir...

Lucy

les 3/4 du film pas mal, nous avons (moi et ma femme ) bien suivi, mais la fin ont à était largué,


HELP

Métaphysique, Psychologie de comptoir et divertissement ne font pas toujours bon ménage.

Il faut y voir un clin d'oeil à certaines références cinématographiques qu'une certaine paresse empêche de développer.

Besson aime bien jouer avec son public afin qu'il se fasse sa propre fin. Il suffit de revoir "Subway" et "Le grand bleu" pour s'en convaincre.

OK MERCI

mais moi, ma femme et mes amis, sommes tous d'accord, pas bien compris la fin

Soirée blu ray à la maison de retraite

Demain, je commence mon Cinémarathon
Regardant quasiment que des séries depuis plusieurs années, il faut que je me remette aux films et du coup, je vais regarder un film par soir sur 3 ou 4 jours par semaine avec un acteur, un réalisateur, un thème ou une saga en commun.

Je commence par John Hughes entre 1984 et 1986

Je sais pas si ça vous branche que je commente tout ça ici vite fait.

Les séries c'est le mal (et c'est naze )

Oui bien sur, on attend tes retours avec grand plaisir

J'avais vu Sixteen Candles et Breakfast Club il y a quelques mois, j'ai trouvé ça un peu daté... Par contre une créature de rêve et Ferris Bueller ça reste au top du top, même 30 ans après ! J'ai surkiffé ces 2 la

Disons que les séries, ça dure 45min, pratique en mangeant, en faisant son heure de sport et bien d'autre chose. Tandis qu'un film, je préfère être dedans sans rien faire d'autre et donc faut avoir le temps mais je vais essayer de changer d'organisation sinon, je ne fais qu'acheter sans rien regarder...
A savoir que j'avais déjà commencé ce principe l'année dernière, j'avais tenu le rythme 3 semaines

Je n'ai vu aucun des 4 là mais j'en ai toujours entendu du bien, surtout Breakfast Club qui est une référence... et Ferris Bueller souvent cité par Karim Debbache dans ses chroniques Crossed

Je regarde par ordre chronologique donc 16 Bougies Pour Sam ce soir

Bien sûr que ça nous intéresse
On attend ça

Je ne suis pas sûr qu'il faille chercher des explications rationnelle dans ce genre de film de super-héros, où les pouvoirs détenus sont entièrement fictionnels.

Néanmoins, pour ceux qui voudraient creuser un peu plus les similitudes des pouvoirs de Lucy avec les autres super-héros (les différents X-Men, Spider Man et Superman en particulier), je signale cet article assez intéressant :

http://oblikon.net/analyses/lucy-de-luc ... xplication

Pour ce qui est de la fin, elle m'a semblé assez limpide, même si elle ressort plus de la métaphysique que de la science. Je reprends donc la fin de l'article qui résume bien le tout :

A la fin du film, Lucy atteint les 100% de ses capacités cognitives, et peut donc voyager librement dans l’espace et le temps (surtout le passé), ce qui est non sans rappeler le voyage de Bowman dans le Monolithe dans 2001, l’Odyssée de l’Espace. Elle voyagera d’abord dans l’espace en arrivant devant la Tour Eiffel, Etretat puis Time Square. On sous-entend donc que Lucy peut voyager où bon lui semble, et peut donc apprendre l’ensemble des connaissances humaines à un instant t.

Cependant, à Time Square, elle peut aussi jouer avec le temps et naviguer dans le passé. Elle verra donc la création de New York, avant de pouvoir remonter le temps de manière quasiment infini. Elle se retrouvera donc à la préhistoire, croisera le chemin des dinosaures etc… Mais surtout son homonyme, Lucy, le 1er australopithèque bipède (notons qu’elle a alors aussi voyagé dans l’espace, Lucy ayant été découverte en Ethiopie). Leur rencontre se scellera par un contact nous rappelant la Création d’Adam de Michel-Ange, exposée à la Chapelle Sixtine. Ainsi, c’est l’ensemble de l’évolution humaine qui se retrouve par ce contact : Du 1er humain démarrant le cycle évolutif à Lucy qui en marque l’évolution ultime.

Par la suite, Lucy assistera au Big Bang, avant de pouvoir disparaître. Mais elle ne disparaît pas vraiment comme on peut le constater dans son message sur le téléphone de Pierre del Rio. Après avoir légué l’ensemble de la connaissance (sous forme de clé USB), elle s’évapore, devenant alors omniprésente et omnisciente. Son évolution ultime lui permet donc d’abandonner sa forme physique, et de l’élever au niveau de Dieu.

Excellente, comme à l'accoutumée, analyse mon cher Surfeur

Et voilà ma première semaine Cinémarathon terminée avec le thème suivant : "Les classiques de John Hughes de 1984 à 1986" :

16 Bougies Pour Sam (1984)
16 Bougies Pour Sam ou les (quasi) débuts de John Hughes, Molly Ringwald, Anthony Michael Hall et John Cusack. Et les débuts, on les sent ! Un peu décousu et naïf, ça tâtonne pour trouver son sujet et la mise en scène pour lui donner du cachet. Très ancré dans le début des 80's, ce teen movie a vieilli et reste très classique puisque le genre n'en est qu'à ses débuts. Il n'en est pas moins très sympathique et touchant en plus de poser les bases des films de John Hughes avec tous ses thèmes chers dont la scène de départ qui sera reprise dans son futur chef-d’œuvre : Maman, J'ai Raté l'Avion.

Breakfast Club (1985)
Breakfast Club... LE monument de John Hughes résonnant à chaque Don't You de Simple Minds. Comment rendre un teen movie intemporel sans aller dans la vulgarité ? Comment 5 personnes totalement différentes peuvent être finalement aussi similaires ? Le tour de force réside dans l'évolution des mentalités, dans l'ouverture des esprits, dans la justesse de la mise à nu des sentiments retournés par une pression sociale et familiale que nous avons tous connu à l'adolescence. Malgré les quelques longueurs du départ, ce symbole de toute une génération est marqué par une spontanéité et une fraicheur que les comédiens nous offrent sans concession sous une caméra mieux maîtrisée que sur son précédent métrage.

Une Créature de Rêve (1985)
La Shermer High School accueille pour la troisième fois une promo déjantée dans cette Créature de Rêve qui a inspiré la série Code Lisa. Gary et Wyatt sont parfaits, Kelly LeBrock en Lisa est électrisante et Robert Downey Jr. à ses débuts est...!! John Hughes part cette fois dans la pure comédie bourrée de clins d’œil au cinéma des 80's et de situations hilarantes pour illustrer la prise de confiance de deux amis geeks dans un système où ils sont sans cesse brimés. Un must have aux effets spéciaux hallucinants pour l'époque et ultra nostalgique rien que pour la musique des Oingo Boingo. WEIRD SCIENCE !!

La Folle Journée de Ferris Bueller (1986)
La Folle Journée de Ferris Bueller est contagieuse grâce à un Matthew Broderick attachant malgré l'agacement que peut exercer sur nous ce glandeur star du lycée qui fait tout pour sécher les cours. Impertinent et irresponsable mais ingénieux et charismatique, ses frasques nous embarquent dans des fantasmes adolescents plutôt banals et donc réalistes afin de passer une fabuleuse journée buissonnière avec son meilleur ami et sa copine. Les gags sont nombreux, les clins d’œil aussi, et l'on rit de bon cœur face à ce fleuron des années 80 bourré de tant de bêtise et d'ébauches de ce qui fera le sel de Maman, J'ai Raté l'Avion.

Conclusion
Je ne saurais faire un classement tellement j'ai aimé tous ces films que je n'avais jamais vus avant. Chacun est différent et apporte une nouvelle pierre au cinéma de John Hughes même si les idées se transmettent de métrage en métrage au même titre que certains acteurs dont Anthony Michael Hall, absolument génial. Si j'ai été très agréablement surpris par 16 Bougies Pour Sam et Une Créature de Rêve, très légère déception pour Breakfast Club et Ferris Bueller tellement j'en avais entendu les louanges et les références partout. Ils sont évidemment excellents mais je m'imaginais autre chose (plus de folie pour Ferris Bueller et de potentiel comique pour Breakfast Club) alors qu'ils sont bien plus profonds et ne peuvent se résumer à ce simple constat. John Hughes, merci pour cet héritage !